Exposition de Marilina Prigent
du 27 janvier au 1 février 2014
Vernissage le 27 janvier de 16h en présence de l'artiste
à la Galerie de l'Université Paris 8
Horaire lundi-samedi ::: entre 11h -17h ::: Entrée libre
Horaire lundi-samedi ::: entre 11h -17h ::: Entrée libre
Commissaire d'exposition : Kyoko
Kasuya
« Quand il n’a rien à faire, il détisse son écharpe. »
Elle a entendu cette phrase dans la bouche d’un homme qui vient du milieu du désert.
Les souvenirs ne restent pas toujours sur place au moment où nous vivons une expérience.
« Quand il n’a rien à faire, il détisse son écharpe. »
Elle a entendu cette phrase dans la bouche d’un homme qui vient du milieu du désert.
Les souvenirs ne restent pas toujours sur place au moment où nous vivons une expérience.
Ils s’écoulent, se diluent et
disparaissent.
Marilina Prigent (née en Argentine en 1983) recompose des fragments de mémoire provenant de lettres, des photographies récupérées et de collectes d'archives. Ses installations et vidéos, «Almafuerte» et « Todos los rios van al mar » mettent en résonance des échanges avec un prisonnier, avec un nomade au moyen de son propre langage visuel et poétique, sa rêverie. Ses œuvres renouvellent des émotions délicates, des souvenirs personnels qui se sont déroulés dans divers endroits du monde en Argentine, au Maroc et en France. Dans cette exposition, elle transmet sous forme de narration sa volonté de résister à l’oubli.
Marilina Prigent (née en Argentine en 1983) recompose des fragments de mémoire provenant de lettres, des photographies récupérées et de collectes d'archives. Ses installations et vidéos, «Almafuerte» et « Todos los rios van al mar » mettent en résonance des échanges avec un prisonnier, avec un nomade au moyen de son propre langage visuel et poétique, sa rêverie. Ses œuvres renouvellent des émotions délicates, des souvenirs personnels qui se sont déroulés dans divers endroits du monde en Argentine, au Maroc et en France. Dans cette exposition, elle transmet sous forme de narration sa volonté de résister à l’oubli.
Détisser, c'est défaire une vision du monde pour en recomposer une nouvelle.
« Bio »
Marilina Prigent est née à Mendoza en Argentine (1983), vit et
travaille à Montpellier.
Après des études à l’École des Beaux-Arts de
Mendoza et à l’Université Nationale de Cuyo, elle obtient son diplôme
(D.N.S.E.P.) à l’École Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier en 2013. Ses
œuvres ont été sélectionnées dans plusieurs expositions en France, notamment Soirée
Flare #27 au Centre Rabelais de
Montpellier et Alerte Météo 4 au Musée régional d’art contemporain de Sérignan.
Kyoko
Kasuya est née à Saitama au Japon (1980), vit et travaille à Paris.
Elle est curatrice indépendante et artiste. Sa première expérience tant que curatrice fut lors d’une exposition collective « Invisible à Voir » avec Asamï Nishimura (co-commissaire) à l’institut Français du Japon (Kyoto/Kansaï) en 2013. Le sujet de l’exposition était « Comment la France regarde le Japon aujourd’hui ». Elle a invité cinq artistes français notamment les deux anciens lauréats de la Villa Kujoyama : Jean-Luc Vilmouth et Le Gentil Garçon.
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Université Paris 8 (Bât A. RDC - Salle A033)
2, rue de la Liberté
93200 Saint Denis FRANCE
Métro Ligne 13 -Saint Denis Université
Informations et renseignements
06 52 16 68 44 - kyoko.kasuya@gmail.com
Elle est curatrice indépendante et artiste. Sa première expérience tant que curatrice fut lors d’une exposition collective « Invisible à Voir » avec Asamï Nishimura (co-commissaire) à l’institut Français du Japon (Kyoto/Kansaï) en 2013. Le sujet de l’exposition était « Comment la France regarde le Japon aujourd’hui ». Elle a invité cinq artistes français notamment les deux anciens lauréats de la Villa Kujoyama : Jean-Luc Vilmouth et Le Gentil Garçon.
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Université Paris 8 (Bât A. RDC - Salle A033)
2, rue de la Liberté
93200 Saint Denis FRANCE
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Informations et renseignements
06 52 16 68 44 - kyoko.kasuya@gmail.com